Regard Jonathan/Jean Louvet, son oeuvre


Art
Belgique • Écrivain·e • Histoire • Théâtre
Date de sortie :
1983
Pays :
Belgique
Genre :
37
Metrage :
37
Durée :
52'
Casting :
Image: Claude Mouriéras, Eddy Luyckx
Cadre: Laurent Velghe
Son: Jean-Pierre Duret, Dominique Warnier
Montage: George Souphy
Mixage: Alain Tresini
Effets spéciaux: Stéphane Huter Guy Souphy
Musique: Maurice Ravel (Daphnis et Chloé) Krzysztof Penderecki (à la mémoire des victimes d’hiroshima) Karlheinz Stockhausen (Atmen gibt das leben) Benjamin Constant (14 stations)
Voix: Catherine Bady Michel de Warzée
Société de production: No-Télé Tournai

Synopsis

Portrait de Jean Louvet, écrivain de Wallonie.
Un portrait dont les traits ne cherchent pas une ressemblance à l’auteur à la manière d’une biographie, mais bien à son œuvre. Comment depuis sa première pièce (« le train du bon dieu », 1962) jusqu’à « l’homme qui avait le soleil dans sa poche », 1981 s’est constitué un univers théâtral où les signes de l’utopie sociale, de l’histoire rivalisent avec ceux de l’absence, de l’immobilité, de la mort. Un écrivain (qui pourrait s’appeler Jonathan comme le fils d’Alice et de Grégoire dans «  Conversation en Wallonie » écrit en 1976) dans des paysages désertés par les hommes. Des mots solitaires en attente d’histoire dans un pays où les images de mort sont trop nombreuses.

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