Tour d'horizon des grands axes de cette 3e édition organisée par le Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel, alors que l'appel à programmation dans les lieux culturels de la Fédération Wallonie-Bruxelles est toujours ouvert.
Après le succès rencontré lors des deux premières éditions (qui avaient succédé à 7 éditions du Jour le Plus Court), le Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel renforce encore l'opération afin de mettre en lumière la richesse et la diversité des courts métrages d’initiative belge francophone.
EN SALLES, EN STREAMING ET EN TV
- En salles
- En Fédération Wallonie-Bruxelles : des dizaines de séances de courts métrages dans les lieux culturels : l'appel à programmation reste ouvert aux associations, centres culturels, cinémas, bibliothèques, maisons de jeunes, musées, médiathèques, maisons de repos, ciné-clubs universitaires… Tous les lieux de projection, même les plus insolites, peuvent y participer. Afin de simplifier l'organisation d'une projection, 13 programmes clés en mains sont par ailleurs proposés aux opérateurs.
- Du court au long : du 13 au 26 mars, différentes salles programmeront des courts métrages avant des séances de longs métrages.
- En streaming
- La plateforme Sooner proposera 4 thématiques à l'occasion de la Fête du Court Métrage : un focus sur 4 films d'Ann Sirot et Raphaël Balboni, "Les courts des grands" reprenant une sélection de court réalisés par des cinéastes à succès (Les voisins de Jaco Van Dormael notamment), "Regards Féministes" et pour n'oublier personne : La chouette collection pour les tout-petits.
- Avila mettra en avant le premier court métrage de Chantal Akerman : Saute ma ville, à l’occasion de la mise à l'honneur de la réalisatrice au printemps 2024.
- En télévision : on retrouvera notamment une nuit du court métrage le mercredi 20 mars à partir de 23h50 sur Be Ciné.
Référence en la matière, le tandem d’auteurs-réalisateurs de fiction Ann Sirot et Raphaël Balboni parraine cette nouvelle édition. Ils ont réalisé huit courts métrages et deux longs métrages. À travers ces projets, ils ont pu construire un univers décalé et étrange, un cinéma hybride et atypique, un onirisme délirant et joyeux.
