On est sous le charme de cette grande fluidité d’un tempo construit sur un rythme musical, avec des plans rapides alternant avec des cadrages simples.
On est subjugué par la réalisation de Ian Menoyot au point de ne pas savoir ce que raconte ce film étonnant à la fin elliptique. Une histoire qui n’en a rien à cirer des scénarios télévisuels (ouf, trois fois ouf). Etonnant, bigre, il faudra le revoir pour garder un œil sur ce jeune cinéaste avec un verre de porto à la main.